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Toccata Adagio & Fugue en do majeur

2013-05-29 3 Dailymotion

BWV 564 NARINÉ SIMONIAN : « Although composed in Bach's youth, this work, authenticated by contemporary copies is quite complex.
The Toccata begins with a recitative on manuals, continuing on large pedal solos, with gruppettos, trills and triplets. The work comes back to a concertant allegro, with a fully invertible counterpoint. The Adagio, specially inspired by the Italian arias, is beautiful, richly ornamented with Napolitan sixths, pizzicatti, and so on.
A transition, moderate and dramatic, into the "Grave" contrasts with the Fugue sprightliness.
The Fugue, concertant, in which the subjet sings and dances at the same time, remains perfectly organistic.

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NARINE SIMONIAN : «Cette oeuvre de jeunesse, dont l'authenticité est prouvée par les copies d'époque, est très complexe. La Toccata commence par un récitatif au manuel, puis enchaîne par un grand trait de pédale, avec des grupetti, trilles et triolets. L'oeuvre rebondit en un allegro concertant en contrepoint entièrement renversable.
L'adagio, particulièrement inspiré par l'aria italienne, est d'une grande beauté, richement orné, avec des sixtes napolitaines, pizzicati, etc...
Une transition sobre et dramatique dans le "Grave" contraste avec l'enjouement de la fugue.
La fugue, concertante, où le sujet chante et danse à la fois, reste parfaitement organistique.»
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Nariné Simonian est née en Armenie, où elle a commencé le piano dès son plus jeune âge. En 1990, elle obtient ses deux diplômes de pianiste-concertiste et organiste et réside en France à partir de 1991. Elève de Marie-Claire Alain au Conservatoire de Rueil-Malmaison, elle est récompensée par des nombreux prix à des concours (notamment le concours Liszt-Mendelssohn et Moret de Fribourg en 1994). Par la suite, elle enregistre plusieurs CD salués par la presse spécialisée et est distinguée de cinq Diapason pour son disque de J.-S. Bach, enregistré a St.-Pierre-Aux-Liens de Bulle, sur l'orgue construit par Aloys Mooser, sous la direction artistique d'André Bochud. On lui doit également un CD de Liszt-Mendelssohn, Guillou à St. Eustache à Paris, ainsi que la musique liturgique arménienne sur le Cavaillé-Coll de St.-Antoine des Quinze-Vingt à Paris.
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Narine Simonian began studying music in Gyumri, Armenia, where she was born. From there, she went on to the Higher National Conservatory at Yerevan, attending the piano class conducted by Vahé Aharonian. In 1986, she was unanimously awarded a first prize in piano concertizing and chamber music.