Comment comparer le TCO des terminaux durcis et de ceux qui ne le sont pas ?
Le débat n’est pas nouveau, mais les réponses peuvent l’être :
terminal durci/semi durci (lorsque les contraintes métier l’exigent) ou terminal « bureautique » plus ou moins bien protégé, qu’on accepte néanmoins de remplacer en cas de casse. Entre les prix des terminaux durcis qui baissent, les terminaux bureautiques qui se renforcent et les accessoires qui protègent en alourdissant la note, comment calculer un coût total de possession fiable, exemples métier à l’appui ?
