Au fond de mes entrailles nos chers disparus toc à la porte, et me susurrent :
Coucou c’est nous !
Mon parrain, ma marraine toujours là et que dire de tante germaine, près du lavoir en plein hiver, les doigts gercés il faut battre le linge.
À quoi bon se plaindre !
Le but de ma balade là, mon bel étang aux eaux profondément troublées.