Le groupuscule d'extrême droite Barjols, qui avait projeté des attentats et des enlèvements, y compris des actions dirigées contre Emmanuel Macron, sera jugé après la découverte d'un arsenal d'armes. Trois de ses membres se retrouvent devant la cour d'appel pour des accusations d'association de malfaiteurs terroriste.
## Projets d'attentats diversifiés
Ce groupe avait envisagé une série d'attentats, notamment contre des mosquées, synagogues et centres d'accueil pour migrants, ainsi que des enlèvements de personnalités politiques. En novembre 2018, pendant les commémorations de l’armistice, des services de renseignement ont intercepté une communication d’un individu sous surveillance, manifestant son intention d'assassiner le président.
## Démantèlement et découverte d’arsenal
L'organisation, fondée autour de Jean-Pierre Bouyer, a été décapitée après que la police a mis la main sur diverses armes et munitions dans leurs locaux. Selon les informations recueillies par les autorités, ils avaient prévu d'exécuter des assassinats et des enlèvements. Les trois membres condamnés en première instance plaident leur cause aujourd'hui devant la justice parisienne.
