La mobilisation se poursuit en Turquie et les manifestations interdites par le pouvoir tournent à l'affrontement avec la police. Alors qu'Ekrem Imamoglu, le maire d'opposition d'Istanbul, vient de passer sa première nuit en prison, son parti, le CHP, l'a désigné comme candidat pour la présidentielle prévue en 2028. Depuis l'arrestation d'Imamoglu, le 19 mars, des Turcs se réunissent chaque soir par dizaines de milliers pour dénoncer le "coup d'Etat" du président Erdogan. Retour sur les cinq jours de contestations.
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