Emmanuel Macron a réuni mardi plusieurs ministres en première ligne dans les relations avec l'Algérie au lendemain de l'appel avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune pour relancer le dialogue, dont Bruno Retailleau qui a dit avoir «bon espoir» d'aboutir à des avancées. Mais le philosophe Michel Onfray, «quand on est ministre de l’Intérieur, l’espoir ce n’est pas suffisant».