L'enseignante accusée d'avoir poussé au suicide Evaëlle a été relaxée ce jeudi 10 avril. Selon la présidente du tribunal, les éléments à charge étaient "discordants, indirects, peu circonstanciés", concluant que la professeure "n’a pas cherché volontairement une dégradation des conditions de vie d’Evaëlle". L'avocate des parents de la jeune fille a annoncé faire appel sur le volet civil.