C'est un fléau qui a la peau dure et auquel s'attaque l'assurance-maladie, il s'agit de la vente des faux arrêts de travail. En cas d'utilisation de faux arrêts de travail, les fraudeurs s'exposent à des pénalités financières ainsi qu'à des poursuites judiciaires pour faux et usage de faux allant jusqu'à 5 ans d'emprisonnement de 375 000 euros d'amende en cas de récidive.