La salle comble de l’université Jean Monnet à Saint-Étienne bruissait d’impatience ce lundi. Des dizaines d’étudiants en licence et master, futurs professeurs, étaient venus chercher des réponses claires sur la réforme des concours d’enseignement – et surtout sur la répartition des postes entre le CAPES et le nouveau concours post-licence. Mais face à eux, la rectrice Anne Bisagni-Faure et son équipe n’ont pu leur offrir que des généralités et des promesses.