« Hey Sarko, on est au courant de tout ! On va venger Kadhafi ! » Mercredi 22 octobre, des vidéos publiées sur les réseaux sociaux par des détenus de la prison de la Santé ont entraîné la garde à vue de trois d’entre eux pour « menaces de mort », provoquant une vague d’inquiétudes pour la sécurité de Nicolas Sarkozy, entré la veille dans l’établissement pénitentiaire après sa condamnation pour « association de malfaiteurs » dans l’affaire libyenne.