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FIN DES TEMPS & CALENDRIER Maya La Grande Purification 4-7

2013-03-11 50 Dailymotion

"La vérité vous rendra libre." Jn 8 32.

« Là-bas au loin il y avait une lumière brillante, comme un lever de soleil multicolore rayonnant de couleurs impossible à décrire, et de la musique. On pouvait sentir cette musique venant de là-bas, elle était partout. Harmonie, pure harmonie montant d`une strophe à l'autre pour atteindre un crescendo, mais et seulement pour s'enchainer dans la phase suivante. Musique sans rythme, sans fin, intemporelle, éternelle et pure. Conduisant constamment à son paroxysme mais sans jamais l’atteindre. J'étais stupéfait, rien sur terre n'était comparable à cette musique de sons mélangés aux couleurs. Si j'avais eu un corps j'aurais explosé de joie pure après seulement cinq secondes d'exposition à cette symphonie éternelle. J'étais entouré par elle dès le moment où je suis arrivé. J'ai dit, ou pensé, dans ma stupeur : "Qu'est-ce que c'est?" Il a souri et a dit simplement : c'est la capitale là où le Père habite.
Nous avons continué, j'étais totalement absorbé par notre destination, essayant de me perdre dans ce chant éternel, je voulais être ce chant, m'y fondre. J’avais beau essayer mais je n'arrivais pas à en saisir le flot, il changeait à tout moment, toujours montant vers une nouvelle et unique strophe, et juste au moment où je pensais "ca y est, je le tiens", et que j'étais sur le point de le fredonner, la mélodie se transformait en quelque chose de nouveau. Il n'y avait pas deux strophes qui se répétaient, chacune était unique, chacune était un chef d’œuvre, chacune impossible à entendre à nouveau, et à jamais car chaque nouvelle strophe créée se fondait dans le tout. Toujours en construction, toujours en croissance, toujours nouveau, toujours impossible à décrire. Nous avons voyagé pendant un certain temps impossible à définir, dans un endroit qui n'a pas de temps. Nous sommes arrivés à la capitale. Elle est extraordinaire, un travail incroyable de construction. J’ai remarqué que la musique n'est pas devenue plus "forte" en nous approchant, alors que le spectacle lumineux qui l'accompagnait lui, grandissait, brillait de plus en plus. Les couleurs flottaient avec la musique, des vagues de feu scintillantes, tissées à travers les sons qui émanaient du centre. Comme une explosion de feux d'artifice chorégraphiés accompagnant la musique. Les sons étaient des couleurs et les couleurs étaient à l'origine du son.
Le centre d'où émanait la lumière, semblait être encore à une grande distance. Toujours fixé sur cet horizon improbable, qui n'était pas un horizon, c’est à ce moment que nous avons atteint les faubourgs de la capitale. J'ai vu les premiers bâtiments, vraiment modestes, "simples" .en comparaison avec ceux que j'ai vus plus tard. Mais ces structures "simples" feraient honte à ce que nous avons sur Terre…»
(à suivre…)